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Saints

Saint Emilion

Émilion, moine breton du 8ème siècle. 

Né dans une famille obscure et pauvre de Vannes (Morbilhan), il se retire au monastère de Saujon qu'avait fondé saint Martin. Des frères s'opposant à lui, il les quitte pour s'installer dans une grotte sur les bords de la Dordogne. Ce lieu de pèlerinage donnera naissance à une petit ville. Il meurt à Bordeaux.

Il devint moine à l'abbaye de Saujon au diocèse de Saintes; puis, pour mener la vie érémitique, il vint se fixer dans une grotte sur les coteaux qui longent la Dordogne en un lieu appelé autrefois 'Les Combes' et maintenant Saint-Émilion. Son ermitage, que l'on peut visiter, était creusé dans le roc, comme la curieuse église à trois nefs qui fut aménagée par la suite auprès de son tombeau.

La réputation de saint Émilion fut telle que, très tôt près de ce tombeau, s'installa une communauté de clercs. Cette communauté placée d'abord au XIIe siècle sous la règle des chanoines réguliers de saint Augustin, se transforma au XIVe siècle en un chapitre de chanoines qui subsista jusqu'à la Révolution. Le culte de saint Émilion n'a jamais cessé.

Cet homme de cœur quitta sa famille et sa Bretagne natale pour se retirer et se consacrer à la prière. Par ses miracles et sa générosité, sa renommée rayonna par-delà la vallée et de nombreux disciples le rejoignirent. Émilion évangélisa la population, créant ainsi une grande cité monastique à laquelle les fidèles donnèrent son nom. Ce saint homme mourut le 6 janvier de l'an 767, après avoir passé les dix-sept dernières années de sa vie dans son ermitage, autour duquel furent construits la cité de Saint-Émilion et son ensemble troglodytique exceptionnel." (Office du tourisme de Saint Émilion) -

Saint-Émilion n'est pas une légende. Selon les études les plus récentes, son culte s'enracine à la fois en Bretagne près de Lannion où une belle église et un ruisseau portent son nom et, bien sûr, à Saint-Emilion... Autre fête le 7 janvier En Aquitaine, vers 767, saint Émilion, ermite. Né au pays de Vannes en Bretagne, il se fit pèlerin et s'arrêta d'abord à Saujon près de Saintes, où il fut moine, mais désireux d'une plus grande solitude, il se fixa non loin de la Dordogne et se construisit une cellule et un oratoire dans le roc.(Nominis)

Saint Etienne

Saint Augustin, dans La Cité de Dieu, racontera nombre de miracles accomplis par le protomartyr, récits qu’on retrouve chez de nombreux hagiographes du Moyen Âge. Ainsi en est-il de fleurs qui étaient posées sur l’autel de Saint Étienne puis appliquées sur des malades, qui guérissaient miraculeusement. Ainsi en est-il aussi de dame Patronia, gravement malade, qui consulte un jour un juif qui lui remet un anneau orné d’une pierre, qu’elle doit porter. Le talisman n’améliore cependant pas son état. En désespoir de cause, Patronia se réfugie à l’église de Saint-Étienne qu’elle implore avec ferveur. L’anneau glisse à terre et elle est guérie.Fêté le 26 décembre.

Source Wikipédia

Saint Eutrope

Eutrope est le fils du roi des Perses. Saint Eutrope fût le Premier évêque de Saintes où il fut envoyé par S. Clément. Martyr au Vème siècle. On l'invoque contre l'hydropisie, les convulsions infantiles, le lymphatisme et patron de la ville de Limoges considéré comme martyr car il est décapité par un païen. Fêté le 30 Avril, Eutrope se dit Estropi (en gascon) était le saint idéal pour soigner les estropiés. Saint d’origine orientale. Saint Eutrope d'Orange se fête le 27 Mai. Une assimilation avec Ste Eutropie veuve fêtée le 26 septembre tandis que la martyre elle est fêtée le 14 décembre

Invoqué aussi pour guérir de l'hydropisie ou Œdème

Le cantique de Saint Europe

Saint Exupère

Saint Exupère serait né à Arreau vers la fin du IVe siècle. Il fut évêque de Toulouse, succédant à Sylvius; il y acheva notamment la construction d'une église pour abriter les reliques de saint Saturnin (située sur l'emplacement actuel de la basilique Saint Sernin). Il s'employa à subvenir aux besoins des plus nécessiteux, 'endurant la faim pour nourrir autrui' nous dit saint Jérôme. Il vendit en particulier les vases sacrés de son église pour distribuer l'argent aux pauvres, ne gardant pour lui que le strict nécessaire. Il protégea la ville de l'invasion des Vandales; saint Jérôme le cite d'ailleurs comme sauveur de son peuple face aux invasions barbares. Il combattit les hérésies des Goths et du prêtre Vigilance qui prêchait contre le culte des martyrs et leurs reliques, contre le jeûne, le célibat et la profession monacale.

La légende tendrait à laisser croire qu'Exupère, qui mourut à Blagnac près de Toulouse dans les premières années du V siècle (404), se serait arrêté à la source d'Augnax en évangélisant les gens de Fontiacum-Augnax— de l'an 350 à l'an 390 — et qu'il y aurait opéré quelque guérison miraculeuse. C'est probable. Saint Jérôme raconte que saint Exupère évangélisait en se portant sur une mule et que sa pauvreté était si grande qu'il en était réduit « à porter l'Eucharistie dans un panier d'osier et le sang de Jésus-Christ dans un vase de terre ». Telle est cette touchante légende de saint Exupère à Augnax. Le culte de ce saint a existé dans la commune depuis la plus haute antiquité.

Saint Ferréol

fêtes patronales qui ont lieu le 3e dimanche de septembre source à Cachen

Saint Ferréol, tribun romain, martyrisé à Vienne, l'an 287, par un Chanoine de Montauban disciple de saint Polycarpe, apôtre de Besançon, martyrisé dans cette ville en l'an 210, sous le pontificat de saint Eleuthère, et puis 

Quel est le saint Ferréol qui est l'objet de la vénération populaire l'auteur répond par deux dates, 1628 et 1653 ■; seulement il penche, et avec raison, croyons-nous, pour 1653, date d'une terrible peste qui ravagea les environs de Montauban et les contrées voisines de cette ville

Saint Firmin

Evêque d'Amiens (IVe siècle) - Invoqué pour soigner les infirmes

Les historiens voient en lui le premier évêque d'Amiens où il aurait subi le martyre au IVe siècle.
La légende du portail nord de la cathédrale d'Amiens se base sur un écrit du IXe siècle. Le sénateur Firmus conduisait son fils, le futur saint Firmin, au temple de Jupiter à Pampelune en Espagne quand il rencontra le prêtre chrétien Honestus qui lui parla de Jésus et lui fit rencontrer une semaine plus tard son maître, saint Saturnin, l'un des soixante-dix disciples de Jésus. Saturnin, à Pampelune, convertit quarante mille personnes en quelques jours dont le jeune Firmin qui, avec l'âge, devint un fidèle prédicateur du Christ.

Firmin à vingt-sept ans reçut le sacre épiscopal, évangélisa l'Aquitaine, l'Auvergne, le Beauvaisis et s'en fut à Amiens. C'est là qu'il fut arrêté et discrètement assassiné par le gouverneur païen qui craignait les trop nombreux chrétiens de la région. Saint Firmin, diocèse d'AmiensL'histoire est belle, mais les détails sont peu historiques. - ordo du diocèse d'Amiens, pages 7 et 8, Cent trois évêques se sont succédé sur le siège d’Amiens depuis saint Firmin: sept sont honorés du culte des saints : Firmin le martyr, Euloge, Firmin le confesseur, Honoré, Saulve, Berchond, Geoffroy 1er. Saint Firmin fin IIIe siècle, 2e. Saint Euloge de 325 à 357 ?, 3e. Saint Firmin le confesseur IVe siècle, 8e. Saint Honoré de 554 à 600, 9e. Saint Saulve de 600 à 615, 10e. Saint Berchond de 615 à 644, 37e. Saint Geoffroy de 1104 à 1115. Les diocèses du nord de la France comptent parmi les plus anciens d'Europe. Celui d'Amiens a ainsi été fondé par le sang d'un chrétien d'Espagne, Firmin, qui a été exécuté par les romains de l'époque... Le diocèse d'Amiens est créé vers la fin du IIIe siècle, au temps des premiers missionnaires venus évangéliser le nord de la Gaule. Notons, pour le diocèse, Saint Quentin, les Saints Fuscien, Victoric et Gentien, et un peu plus tard, Saint Firmin. Traditionnellement, c'est ce dernier qui est retenu comme étant le premier évêque d'Amiens... (Histoire du diocèse d'Amiens) Saint-Firmin 2015: Une fête de famille! (diocèse d'Amiens) À Amiens, saint Firmin, vénéré comme évêque et martyr

Saint Fort

Dans Wikipédia :

Saint Fort est un saint légendaire qui, désigné par le diocèse comme l'un des premiers évêques de Bordeaux, jouit du XIIIe siècle au XIXe siècle d'une grande popularité dans la région.

Le mythe raconte qu'il serait mort martyr. Saint-Fort soulève bien des discussions et son existence est sujet à polémique. Jacques Sargos évoque « une évidente supercherie, destinée à capter le flux des pèlerins ». Les reliques du Saint (ou supposées comme telles), reposent aujourd'hui dans la basilique Saint-Seurin de Bordeaux.
A l'image de Saint Fort, d'autres personnages légendaires ont fait l'objet d'un culte au cours des siècles comme Guinefort, Héléna ou encore Enéour. Le caractère non officiel et controversé de ces saints rend difficile toute restitution historique.

Aux origines du mythe La légende de Saint Fort serait née d'une série de confusions qui auraient abouti à « personnifier la châsse de Saint-Seurin (le feretrum, le fort) sur laquelle les autorités bordelaises prêtaient les serments solennels ».
A la Saint-Fort de très nombreux parents conduisaient leurs enfants et nouveau-nés à son tombeau considéré comme thaumaturge et les portaient à neuf reprises (en rapport avec la neuvaine) au-dessus de la châsse. Selon la tradition Bordelaise, l'acte d'asseoir l'enfant sur le tombeau lui procurait force et santé.

saint Fragulphe

Personnage légendaire qui combattit contre les envahisseurs sarrasins et fut décapité. Sa tête en roulant au sol laissa trois tâches de sang d'où jaillit une source

Saint Front

Il se dit aussi que les habitants de Lalinde allèrent trouver Saint Front, l'Evêque de Périgueux et le prièrent de la chasser de leur contrée, ce qu’il leur accorda volontiers ; ayant passé la Dordogne à pied sec, Front se rendit sur la falaise où se tenait le dragon, il monta dans sa grotte et dès qu'il le vit lui fit le signe de la croix lui ordonnant de s'en retourner dans l'océan d'où il venait. Le dragon prit peur et se précipita dans la Dordogne et disparut.

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