Paroisse sous l'ancien régime, devenue commune après la révolution Minzac a subi plusieurs modifications. En 1835, l'assiette se trouve augmentée de l'enclave du « Moulin Neuf », dépendant jusqu'alors de Villefranche-de-Longchapt, par l'ordonnance de Louis-Philippe Ier, du 1er juillet 1835.
La superficie passe à 2 606 hectares.
Le 19 mars 1841, les hameaux de Trompette, Belair, Maisonneuve, Nicoulaud et Legendre sont rattachés à la commune de Montpeyroux, conformément aux vœux de leurs habitants. La superficie redescend à 2 457 hectares.
Le 22 juin 1906, la création de la commune de Moulin-Neuf ampute une seconde fois le territoire de Minzac qui passe de 2 457 à 1 591 hectares. La création de cette nouvelle commune fait suite à une demande des habitants, formulée depuis 1879. L'éloignement du bourg, les difficultés de circulation et le dédain de la municipalité de Minzac avaient créé une grave mésentente qui provoqua cette sécession.
En 1927, l'abbé Georges Rocal relate dans son ouvrage Le Vieux Périgord une coutume qui avait lieu à Minzac le 24 juillet : des jeunes filles faisaient tinter une cloche toute la journée lors d'un pèlerinage à la chapelle Sainte-Marie-Madeleine des Brandes, ce qui devait leur assurer un mariage dans l'année.
Ce pèlerinage, qui intervenait juste après la fête foraine locale et se déroulait en pleine période de démontage des stands, a été déplacé au 22 juillet dans la seconde moitié du XXe siècle